"J'te donne un thème, et toi, t'écris". C'est aussi simple que ça. Ou pas. Mais voilà, elle était triste et si ça pouvait dessiner sur son visage une ébauche de sourire. "La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve double". Oui. Moi j'suis heureuse, on partage?
Mais avec toute la bonne volonté du monde, j'suis décemment pas en condition, là. Deux fichiers Word avec plein de boulot dans un coin du PC, un épisode de Criminal Minds bien gore à la télévision, mon amoureux qui est sur le point de rentrer. Ah, et Facebook ouvert. L'heure est grave.
Parce qu'entre un "poke" (Oui, un seul, j'ai toujours trouvé ça débilo-inutile. Dieu sait pourtant que j'aime ce genre de choses), 2 conversations, 3 nouveaux messages (Et non, ce ne sont pas les messages sympas, genre organisation d'une bonne soirée raclette-vin blanc, éclate shopping ou aprem' château gonflable, c'est encore et toujours du boulot) et 4 notifications, j'me sens .. submergée. C'est merveilleux FB, y a toujours un truc à faire. Espionner ses ex, médiser sur les photos des dernières vacances de la greluche de la promo, adhérer à des groupes débiles (vous voyez que j'aime ça. Non mais ho.).
Les groupes, j'en ai une belle panoplie : "Quand tu fouilles ton sac à main, t'as l'impression de faire Koh-Lanta", "Je ne suis pas seulement drôle, j'ai aussi de gros seins", "Nous allons survivre à 2012, puisque Ted vit en 2030", "Pour que la police crie pi...ka...chuuu avant de taser", "Pour un monde où la monnaie serait le caca".
Rien de sérieux, du genre "Sauvez les baleines"? Euh. Non. Ohé, c'est Facebook. J'ai jamais dit que ce site était utile.
Oui bon, on va me sortir le traditionnel et niais "Mais ça aide à retrouver pleins de gens!". Oui, mais pleins de gens à qui on parlera pas, parce qu'au fond, on a plus rien à leur dire. Soit, on peut toujours farfouiller dans leurs souvenirs, dans leur vie. C'est utile? Non, mais au final, j'aurai toujours perdu deux bonnes heures. Et pourtant je serais bien incapable de me suicider virtuellement.
Mais avec toute la bonne volonté du monde, j'suis décemment pas en condition, là. Deux fichiers Word avec plein de boulot dans un coin du PC, un épisode de Criminal Minds bien gore à la télévision, mon amoureux qui est sur le point de rentrer. Ah, et Facebook ouvert. L'heure est grave.
Parce qu'entre un "poke" (Oui, un seul, j'ai toujours trouvé ça débilo-inutile. Dieu sait pourtant que j'aime ce genre de choses), 2 conversations, 3 nouveaux messages (Et non, ce ne sont pas les messages sympas, genre organisation d'une bonne soirée raclette-vin blanc, éclate shopping ou aprem' château gonflable, c'est encore et toujours du boulot) et 4 notifications, j'me sens .. submergée. C'est merveilleux FB, y a toujours un truc à faire. Espionner ses ex, médiser sur les photos des dernières vacances de la greluche de la promo, adhérer à des groupes débiles (vous voyez que j'aime ça. Non mais ho.).
Les groupes, j'en ai une belle panoplie : "Quand tu fouilles ton sac à main, t'as l'impression de faire Koh-Lanta", "Je ne suis pas seulement drôle, j'ai aussi de gros seins", "Nous allons survivre à 2012, puisque Ted vit en 2030", "Pour que la police crie pi...ka...chuuu avant de taser", "Pour un monde où la monnaie serait le caca".
Rien de sérieux, du genre "Sauvez les baleines"? Euh. Non. Ohé, c'est Facebook. J'ai jamais dit que ce site était utile.
Oui bon, on va me sortir le traditionnel et niais "Mais ça aide à retrouver pleins de gens!". Oui, mais pleins de gens à qui on parlera pas, parce qu'au fond, on a plus rien à leur dire. Soit, on peut toujours farfouiller dans leurs souvenirs, dans leur vie. C'est utile? Non, mais au final, j'aurai toujours perdu deux bonnes heures. Et pourtant je serais bien incapable de me suicider virtuellement.